Ces grands patrons qui n'ont pas fait d'études

1. Bill Gates, le plus célèbre « non diplômé » de Harvard

On ne présente plus Bill Gates, le co-fondateur de Microsoft. Ce que l'on sait moins, c'est que Bill est aussi le plus célèbre « non diplômé » de la prestigieuse université américaine de Harvard. Certes, il a commencé ses études en 1973 et y a rencontré son associé Paul Allen. Mais il a préféré fonder, en 1975, la « petite entreprise » qui deviendra Microsoft Corporation. En 2007, Harvard lui a décerné le diplôme à titre honorifique. Une sorte de validation de ses acquis professionnels...

2. Li Ka-shing, le self made man de Hong Kong



Onzième fortune mondiale selon Forbes, le hong-kongais Li Ka-Shing n'est parti de rien. Fils d'immigrants venant de Chine continentale, il commence, au début des années 50, à vendre des fleurs en plastique dans les rues de Hong Kong. Il avait alors 12 ans... Agé de 79 ans, il règne aujourd'hui sur un d'un empire multicartes (électricité, télécoms, immobilier, services portuaires...) évalué à 26 milliards de dollars. Il préside les holdings Cheung Kong et Hutchison Whampoa.

3. Roman Abramovitch, orphelin



La vie n'a pas toujours été tendre avec Roman Abramovitch : orphelin de père et mère à l'âge de 4 ans, il est élevé par des oncles. Admis à l'Institut du gaz et du pétrole de Moscou, il abandonne ses études et se lance dans les affaires. Ce qui lui permettra de mettre la main, dans les années 90, sur la pétrolière Sibneft, qu'il revendra avec profit au géant Gazprom. Même s'il passe le plus clair de son temps à Londres, siège de sa société faîtière Millhouse Capital, il est l'un des hommes les plus riches de Russie.

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4. François Pinault, le succès dans le bac




Tout oppose les ennemis jurés Bernard Arnault et François Pinault : si le premier est Polytechnicien, le second, fils de paysan breton, quitte l'école à l'âge de 16 ans. Il s'implique dans la scierie de ses beaux-parents, qu'il finit par racheter et dont il fait un groupe de matériaux de construction. Il s'illustre ensuite en spéculant, notamment sur le sucre, avant de faire partie des « raiders » boursiers des années 80. Et il créé le groupe Pinault-Printemps-Redoute (PPR), dont il possède toujours 40% des parts. Presque autant que Bernard Arnault dans LVMH...

5. Sheldon Adelson, des taxis aux casinos

Fils d'un chauffeur de taxi de Boston, l'américain Sheldon Adelson débute à douze ans comme vendeur de journaux à la criée. Pas le temps de faire des études... Il enchaîne des boulots, de moins en moins petits : il est le créateur du COMDEX, un grand salon informatique dans les années 80. Puis il se tourne vers les hôtels-casinos, aux Etats-Unis et en Asie notamment. Son groupe Las Vegas Sands est l'un des premiers « casinotiers » au monde.

6. Albert Frère, des clous à la finance

A 18 ans, le belge Albert Frère passe directement du lycée à la petite entreprise familiale, Frère-Bourgeois. Il est un peu l'homme à tout faire de cette société qui commercialise des produits métallurgiques, et notamment... des clous. Frère deviendra un magnat de la sidérurgique wallonne dans les années 60, avant de tout revendre et de se lancer dans la finance. Ses sociétés holdings : Compagnie nationale à portefeuille et Groupe Bruxelles-Lambert.

7. Amancio Ortega, roi du prêt-à-porter

Fils d'un employé des chemins de fer de Castille, l'espagnol Amancio Ortega cultive discrétion et modestie. Et pourtant, il a du gagner sa vie dès 14 ans. Avec son épouse Rosalia, il monte une entreprise textile dans les années 60, avant d'ouvrir en 1975 son premier magasin de prêt-à-porter « chic et pas cher » : Zara. Présent dans une trentaine de pays, son groupe Inditex compte aujourd'hui plus de 3.000 magasins et vaut 17 milliards d'euros en Bourse de Madrid.

8. Ingvar Kamprad et son groupe en kit

C'est à 17 ans que le suédois Ingvar Kamprad a monté une petite entreprise, IKEA. Il s'agit au départ d'un petit commerce familial où l'on trouvait toute sortes de petits objets : stylos, briquets, petite maroquinerie... Dans les années 50, il se lance sur le créneau du meuble bon marché à monter soi-même. IKEA compte aujourd'hui plus de 200 magasins, et près de 100.000 employés. Mais l'homme d'affaires suédois reste extrêmement discret sur sa fortune. On parle d'une trentaine de milliards d'euros...

9. Xavier Niel en free style

Né en 1967, Xavier Niel ne terminera jamais son année de « prépa » (math' sup'), voie royale vers les diplômes d'ingénieurs. Il préfère lancer, dès ses 20 ans, une société de télématique qui surfe sur la vague du Minitel. Puis il passera à Internet en lançant le fournisseur d'accès WorldNet, puis le célèbre Free et sa maison-mère Iliad, dont Xavier Niel contrôle toujours les deux tiers du capital

10. Patrick Ricard fâché avec l'école

Héritier de l'empire créé par son grand-père Paul Ricard, Patrick était fâché avec l'école, qu'il a abandonné en classe de troisième. Pressenti pour diriger le groupe, son frère Daniel a finalement été écarté au profil de Patrick Ricard. P-DG depuis 1972 d'un groupe familial qu'il a transformé en multinationale, il organise sa succession. A partir de novembre, il renoncera à la direction générale. Une « semi-retraite » bien méritée !

11. Martin Bouygues, de l'énergie à revendre

Fils de Francis, patriarche et fondateur du groupe, Martin Bouygues est l'actuel P-DG du groupe qui porte son nom. Et il s'est arrêté au bac ! Son père l'a d'ailleurs embauché, en 1974, comme simple conducteur de travaux. Ce qui n'a pas empêché Martin de voir loin : au côté de l'activité traditionnelle de BTP, il a lancé Bouygues dans les médias (TF1), la téléphonie mobile (Bouygues Telecoms) et récemment l'énergie, avec 30% du capital d'Alstom.

14. Bris Rocher, vice-président à 30 ans

Aujourd'hui à la tête du groupe de produits de beauté Yves Rocher qu'a fondé son grand-père, Bris Rocher n'est pourtant jamais allé jusqu'au bac. Agé de 30 ans, il a quitté les bancs de l'école en classe de première. Suite au décès accidentel de son père et très entouré par sa famille, il assure la vice-présidence de ce groupe réalisant plus de 2 milliards d'euros de chiffre d'affaires.

ajouter tous ceux que vous connaissez ainsi,et photo et texte

Annette Roux s'est très vite consacrée à l'entreprise familiale Bénéteau


Représentante de la troisième génération du chantier naval vendéen, Bénéteau, Annette Roux a seulement son baccalauréat quand elle reprend l'entreprise en 1964. Elle a alors 22 ans. Elle a bien fait un an d'études commerciales, mais sans jamais passer les examens pour obtenir de diplôme. C'est donc grâce à sa formidable énergie qu'en 30 ans elle a transformé une PME de 17 salariés fabricant de bateau de pêche en numéro 1 mondial de la plaisance. Grâce à sa série First qui cartonne dans les années 80, Annette Roux s'est payé le luxe de croquer son éternel concurrent, Janneau, au nez et à la barbe des multinationales du secteur. Aujourd'hui, le groupe réalise plus d'un milliard d'euros de chiffre d'affaires dont 80% à l'étranger.

Le financier le plus célèbre de la bourse de Paris s'est arrêté au collège


Souvent comparé à l'américain Warren Buffet pour sa capacité à
entraîner les investisseurs dans son sillage une fois qu'il décide de
prendre des participations dans une entreprise, le financier Albert
Frère est un véritable autodidacte. Ses études, au Collège Athénée provincial du centre à Morlanwelz, en Belgique, il les a arrêtées à l'âge de 16 ans.
Après la seconde guerre mondiale, il entre dans la petite société
familiale, la maison Frère. Située dans les faubourgs de Charleroi,
elle fabrique des petits articles métalliques : chaînes, clous et
ferronnerie. Ce parcours atypique est à l'origine de la légende Albert Frère, qui le fait marchand de clou à ses débuts. Et depuis, l'actionnaire de Lafarge (20,1%), Total, Suez et Pernod Ricard continue d'arrondir ce qu'il appelle sa "galette.

François Pinault a arrêté ses études à l'âge de 16 ans



Fils d'un exploitant forestier, Francois Pinault, troisième
fortune française, a quitté le collège Saint Martin à Rennes à l'âge de
16 ans, sans même avoir le bac. De cette expérience, il
gardera un mépris durable pour les diplômes. C'est son mariage avec la
fille d'un important négociant de bois breton qui va le mettre en selle
et lui permettre de faire ses premières armes dans les affaires. Il prend le contrôle de l'entreprise de son beau-père en 1963 et rachète ensuite une dizaine d'autres affaires du secteur
avant de s'intéresser à la finance dans les années 70. Il spécule sur
le sucre et sur la reprise d'entreprises en difficulté. Dans les années
90, il se tourne vers la distribution avec les acquisitions du
Printemps (revendu en 2007) et de la Fnac entre autres.

moi j'ai toujours dit qu'étudier rendait pauvre

ha ha ha ha ha ha ha

becot t'es grave!!!!!!

le problème t'études souvent c'est que ça te met dans un moule et pour en sortir c'est difficile. ça te pousse vers une corporation et c'est coincé.

mais pour s'en passer il faut avoir un très haut degré d'adaptation.
ou comme les gens là déjà une entreprise familiale qui est déjà en route et qui fonctionnne.

un film qui illustre trop bien cette chose c'est "A la recherche du Bonheur" avec Will Smith. PUTAIN QUE C'EST UN BON FILM !!!!!!!!!!!

quesque je fait à l'école à apprendrd des formules qui ne serviront à rien??

becot a écrit:

moi j'ai toujours dit qu'étudier rendait pauvre

Tout le monde sait que la famille Curie n'est pas la plus riche de France non plus la famille Poincaré.
Mais de là dire que cela rendait pauvre....N'exagérons rien
Beaucoup d'hommes ont réussi par les études, qu'on le veuille ou NON
Bernard Arnault, l'homme le plus riche de France est passé par PALAISEAU......Et quand je dis Palaiseau, je parle de POISSON, de CORIOLIS, de Gaspard MONGE, de BINET, de FRENET, du PDG de Schlumberg, de LAPLACE, de FOURIER, Poincaré, Carnot, Clapeyron, Valery Giscard d'Estaing, Serge DASSAULT...................Je ne me risquerais pas à vouloir tout citer mais tu vois le tableau? Comme quoi, les études bien faites, ça ne ment pas lol

ouais, c sur

mais l'argent làaaaaaaaaaaaa