Je connais plus de proverbes que toi

La crainte de la mort


Celui qui craint la mort perd la vie.

Il est mauvais de souhaiter la mort, mais encore plus mauvais de la craindre.

Je me vois sans m'effrayer, parce que je sais que tout ce qui est né doit périr.

La crainte de la mort n'est-elle pas une erreur ? Le départ est-il réellement un malheur ? Ne conduit-il pas, comme celui de la fiancée qui quitte la maison paternelle, à un autre bonheur ?

La mort n'est peut-être qu'un changement de place.

La mort rattrape ceux qui la fuient.

Les hommes craignent la mort pour la même raison que les enfants ont peur dans les ténèbres.

Les lâches meurent plusieurs fois avant leur mort ;Le brave ne goûte jamais la mort qu'une fois.

Nous aimons mieux mourir chaque heure de la crainte de mourir, que mourir une fois.

Qui ne craint point la mort ne craint point les menaces.

Qui sait si la vie n'est pas ce qu'on appelle la mort et si la mort n'est pas ce qu'on appelle la vie ?

Souvent même la crainte de la mort pénètre les humains d'une telle haine de la vie et de la vue de la lumière, qu'ils se donnent volontairement la mort dans l'excès de leur détresse, oubliant que la source de leurs peines est cette crainte elle-même.

La résignation à la mort

Approche-t-il du but, quitte-t-il ce séjour, Rien ne trouble sa fin : c'est le soir d'un beau jour.

Avant notre venue, rien ne manquait au monde ;Après notre départ, rien ne lui manquera.

C'est un bonheur de mourir avant que d'invoquer le secours de la mort.

C'est une malédiction pour les épis de ne pas être moissonnés ; et ce serait une malédiction pour les hommes de ne pas mourir.

Comme une journée bien remplie nous donne un bon sommeil , une vie bien vécue nous mène à une mort paisible.

Doit être considéré comme mort celui qui n'arrive pas à accepter l'idée de la mort.

Est-il une mort plus belle que celle de l'homme qui sait le mieux mourir ?

Et toi, divine mort, où tout rentre et s'efface, Accueille tes enfants dans ton ciel étoilé ;
Affranchis-nous du temps, du nombre et de l'espace, Et rends-nous le repos que la vie a troublé.

Il est dur de mourir et il est doux d'espérer qu'on ne vivra pas toujours.

Il faut vouloir vivre et savoir mourir.

Il nous faut toujours apprendre pour apprendre enfin à mourir.

Jamais n'est misérable l'être qui accepte facilement la mort.

Je te salue, ô Mort ! Libérateur céleste ;
Tu ne m'apparais point sous cet aspect funeste
Que t'a prêté longtemps l'épouvante ou l'erreur.

Je veux que la mort me trouve plantant mes choux, mais nonchalant d'elle...

Je voudrais qu'à cet âge
On sortît de la vie ainsi que d'un banquet
Remerciant son hôte, et qu'on fît son paquet.

La mort est quelquefois un châtiment ; souvent c'est un don ; pour plus d'un, c'est une grâce.

La mort est un grand bien, puisqu'elle n'est pas un mal.

La mort ne surprend point le sage :
Il est toujours prêt à partir.

La mort n'est pas un mal, l'approche de la mort en est un.

La mort, c'est le commencement de l'immortalité.

La préméditation de la mort est préméditation de la liberté... Le savoir mourir nous affranchit de toute subjection et contrainte.

La vie nous console de mourir, et la mort de vivre.

La vie se passe à craindre et à désirer la mort.

Le sage doit quitter la vie avec autant de décence qu'il se retire d'un festin.

Le sage regarde la vie et la mort comme le matin et le soir.

Le soleil ni la mort ne se peuvent regarder fixement.

Nous troublons la vie par le soin de la mort et la mort par le soin de la vie ; l'une nous ennuie, l'autre nous effraie.

On ne perd d'autre existence que celle qu'on vit et on ne vit que celle qu'on perd.

On ne saurait trop étudier l'art de mourir.

Pleure doucement sur le mort, car il a trouvé le repos.

Quand la servitude est honteuse, la mort est belle .

Quand le moment viendra d'aller trouver les morts,
J'aurai vécu sans soins, et mourrai sans remords.

Quand le mort repose, laisse reposer sa mémoire.

Quand l'oiseau est près de mourir, son chant devient triste ; quand l'homme est près de mourir, ses paroles portent l'empreinte de la vertu.

Qui méprise sa vie est maître de celle d'autrui.

Si tu veux pouvoir supporter la vie, sois prêt à accepter la mort.

Termine ta vie l'âme satisfaite : telle l'olive arrivée à maturité tomberait en bénissant la terre qui l'a portée et en rendant grâce à l'arbre qui l'a fait croître.

Une mort courte est le souverain bien de la vie humaine.

Veux-tu apprendre à bien vivre, apprends auparavant à bien mourir.

Vivre, c'est un hasard du temps ; mourir, c'est se conformer à la loi de la nature. Je jouis de ce hasard et j'obéis à cette loi ; aucune joie ni tristesse ne peuvent pénétrer dans mon cœur.

ce n est pas ce qui entre par la bouche qui fait mal mais ce qui en sort.

c est a dire
pensez 2 fois et parlez 1 fois ou encore faite tres attention a ce que vous dites

Qui veut manger son chien l'accuse de rage

Alors ce proverbe s'utilise dans les cas de jalousie, quand ton prochain est jaloux de tes oeuvres et veut les faire disparaître, alors il commence à te saboter et à mal parler de toi, bref te salir quoi!

on aurra beau froiser un billet dun dollard il ne perdra jamais sa valeur

malgres les coups de la vie tu resteras toi

angeberlie a écrit:

on aurra beau froiser un billet dun dollard il ne perdra jamais sa valeur

malgres les coups de la vie tu resteras toi

Merci.lol.

Géronimo a écrit:

« Il vient un temps où l'argent ne compte plus »
Floyd Mayweather

Ah bon? Quel est ce temps là?

la mort je pense !! nan ???

Mort<<<<<<<<Temps. Quel rapport?

il vient un temps ou l'argent ne compte plus!
quand tu meurs, tu n'as plus besoin d'argent

merci babyboo ! tu as compris.