| | Actualites afircaines insolites ou cocasses..........SUITE | |
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nymphéa Gold
Sexe : Nombre de messages : 5130 Age : 115 Localisation : 7 eme ciel Date d'inscription : 20/05/2008
| Sujet: Actualites afircaines insolites ou cocasses..........SUITE Mar 15 Juil - 17:18 | |
| Les photos du sexe d'une Rufisquoise sur le net mardi 1 juillet 2008
Sénégal ... Source : WalFadjri
Au moment où la police mène une enquête sur les trois policiers violeurs de Keur Serigne bi, la ville de Rufisque vient à nouveau d’être frappée par une affaire toute aussi rocambolesque. Avec notamment ces photos d’une jeune fille qui s’offrent gratuitement aux internautes.
Fatou est une fille vraiment audacieuse. Depuis avant-hier, elle s’est retrouvée à la police de Rufisque pour avoir montré ses parties intimes sur le net. L’affaire s’est déroulée, il y a une semaine. Fatou, la mine bien cool, habite les Hlm. Son ami, un compatriote de la sous-région, communément appelé ‘niak’, a regagné l’Europe quelque temps après qu’ils se sont rencontrés. Pour prouver son amour et sa fidélité, le copain lui réclame des photos de ses parties intimes. Mais Fatou, ayant tenté plusieurs fois de prendre elle-même ses photos, a essuyé des échecs. Elle s’en ouvre à l’ami de son copain qui accepte de la photographier. Ainsi, une séance de photos des parties intimes de Fatou est organisée. Le photographe de circonstance, qui est également un as du net, réussit les plus belles photos qui montrent toutes les couleurs du sexe de la noire Fatou. La fille des Hlm s’empare alors de ses photos pour aller les envoyer au cyber le plus proche. Et c’est là qu’elle commet la faute qui lui sera fatale.
Deux versions sont alors servies aux enquêteurs de la police. La première soutient que quand Fatou s’apprêtait à envoyer ses photos, le cyber a été ‘frappé’ par les délestages de la Senelec. Tandis que dans l’autre version, on note que Fatou, après avoir envoyé ses photos, a oublié de fermer sa boîte. Et qu’un internaute, venu surfer après Fatou, a découvert la boîte de messagerie ouverte et des photos bien singulières à sa portée.
C’est ainsi que le voyeur appelle Fatou sur son portable pour lui demander une partie de jambes en l’air, pour éviter de voir ses photos diffusées partout au Sénégal. Un ‘marché’ que Fatou a automatiquement refusé croyant avoir affaire à un farceur. Mais curieusement, le lendemain, elle est informée que les photos sont envoyées par Bluetooth sur plusieurs portables. La police est alors informée et des recherches sont lancées. Fatou est interpellée chez elle, de même que le photographe.
La police tente maintenant de savoir à quelle fin seront utilisées ces photos. Est-ce à but commercial ? Fatou a-t-elle reçu des sous pour se faire photographier ? Quelle utilisation fera le copain de ces photos ? Ce sont autant de questions qui restent à élucider en attendant de retrouver le maître chanteur, distributeur de ses photos sur les portables. Cette affaire survient au moment où la police mène une enquête sur les trois policiers violeurs de Keur Serigne bi. Un événement qui avait défrayé la chronique ces derniers jours. | |
| | | nymphéa Gold
Sexe : Nombre de messages : 5130 Age : 115 Localisation : 7 eme ciel Date d'inscription : 20/05/2008
| Sujet: Re: Actualites afircaines insolites ou cocasses..........SUITE Mar 15 Juil - 17:19 | |
| Elle trompait son mari et son amant vendredi 27 juin 2008
Maroc ... Source : Aujourd'hui le Maroc
Suite à une histoire d’amour, Malika s’est mariée avec Mohamed. Après avoir mis quatre enfants au monde, elle a entretenu une relation d’adultère avec le cousin de son mari, Soufiane, puis avec un voisin du douar, Saïd. Soufiane a fini par tuer Saïd.
Entre Malika et Mohamed, il y avait une histoire d’amour. Tous leurs proches et voisins de ce douar de la région de Khmiss Zmamra étaient au courant de leur idylle. Elle était à son dix-huitième printemps, l’unique fille de sa famille et sans profession. Mohamed était son aîné de six ans et travaillait dans les champs d’agriculture et les fermes. C’est vrai, la famille de sa bien aimée ne souhaitait pas qu’il soit le futur mari de leur unique fille. Mais, Malika n’avait pas le choix. Les mauvaises langues parlaient trop de cette relation depuis que le couple a été surpris en train de s’embrasser dans un champ. C’est ainsi que la nuit des noces a été rapidement célébrée et Malika a rejoint son mari dans son nouveau foyer. Une année plus tard, elle a mis au monde son premier garçon, puis sa première fillette deux ans plus tard. À son trente-sixième printemps, Malika était déjà mère de quatre enfants dont l’aîné était au collège. Après dix-huit ans de mariage, les deux époux s’aimaient-ils encore ? Pour Mohamed, peut-être oui. Mais, en revanche, la réponse était négative pour Malika. La preuve c’est qu’elle a cédé aux tentations du cousin de son mari. Il s’agit de Soufiane, âgé de vingt-six ans, sans profession. C’était lui, d’abord, qui est tombé amoureux de Malika. Habitant à une centaine de mètres de la maison de son cousin, Soufiane fréquentait souvent la maison de Mohamed même en son absence. Surtout que Malika n’hésitait pas, de temps en temps, à le solliciter pour des courses. Au fil des jours, il s’attache à elle. Un attachement qui l’a encouragé de saisir une occasion lors de laquelle ni son mari ni ses enfants n’étaient à la maison pour lui faire des avances. Tout de suite, Malika a craqué et a commencé à partager le lit conjugal avec Soufiane. Pire encore, Soufiane n’hésitait pas à lui rendre visite la nuit après que tout le monde se plongeait dans un profond sommeil. Malika lui ouvrait la porte pour se réfugier tous les deux dans la cuisine et coucher ensemble en prenant toutes leurs précautions. Jamais, le mari cocu ne s’est rendu compte de l’absence de sa femme qui, en principe, partageait avec lui le même lit.
Vingt-quatre ans après sa relation conjugale avec Mohamed et six ans après sa relation d’adultère avec Soufiane, Malika a commencé à abandonner ce dernier. C’est du moins ce qu’il avait remarqué. A-t-elle décidé de rompre avec l’adultère pour devenir fidèle à son mari ? Non, a dit Soufiane qui a tenté de savoir la vraie raison. En vain. Cependant, il a commencé à remarquer qu’elle s’intéressait de plus en plus à un voisin. Il s’agit de Saïd, âgé de vingt-huit ans. Entretenait-elle une nouvelle relation avec lui ? Pour se rassurer, il a commencé à les surveiller le jour.
Les soupçons rongeaient son cœur et les interrogations martelaient sa tête. S’ils entretiennent une relation, couchaient-ils ensemble ? Si oui, où et quand ? Et Soufiane a commencé à mener des surveillances durant la nuit. Pas moins de trois nuits, il a remarqué lors de la dernière l’ombre d’un être humain qui s’apprêtait à se faufiler à l’intérieur de la maison de sa bien aimée. Rapidement, il l’a rejoint pour lui asséner plusieurs coups de hache au niveau de la tête. Et il a disparu.
Le matin, le cadavre de Saïd a été découvert par les habitants du douar. Qui l’a tué ? Malika a fini par cracher le morceau.
Elle a raconté toute l’histoire aux gendarmes quand ils sont arrivés pour l’arrestation de Soufiane. Ce dernier qui semblait avoir l’intention de la tuer ignorait qu’elle était enceinte de cinq mois. À qui appartenait l’enfant qui était encore dans son ventre ? À son mari, qui ne savait à quel saint se vouer quand il a appris toute l’histoire ? À son premier amant, qui a été traduit devant la justice ? Ou au second qui a été enterré ? | |
| | | nymphéa Gold
Sexe : Nombre de messages : 5130 Age : 115 Localisation : 7 eme ciel Date d'inscription : 20/05/2008
| Sujet: Re: Actualites afircaines insolites ou cocasses..........SUITE Mar 15 Juil - 17:20 | |
| Viol et affaire de la mosquée lundi 7 juillet 2008
Sénégal ... Source : Le Soleil
Suite à une affaire de viol qui s'est produite dans l'enceinte même de la mosquée de Léona Champ des Courses de Rufisque, mettant en cause des éléments du Gmi chargés de sécuriser le lieu saint, la communauté mouride de Rufisque monte au créneau et demande aux policiers de quitter les lieux. Elle exige, dans le même temps, le règlement définitif du conflit foncier qui l'oppose aux riverains.
Les policiers sont coupables et ils doivent vider les lieux. C'est en substance ce que demande la communauté mouride de Rufisque qui dit n'avoir « plus confiance » aux éléments du Gmi accusés d'avoir abusé d'une fille, le 21 juin dernier, dans l'enceinte même de la mosquée mouride, sise à Léona Champ des Courses. Dans une déclaration liminaire, les membres du Comité de suivi de Keur Serigne Touba, Léona Champ des Courses qualifient cet acte de « profanation » et parlent de manque de considération et de non respect à l'égard de la communauté mouride et de la banlieue. Cheikh Mbacké Guèye, le coordonnateur du comité, a indiqué qu'ils ont eu à faire face à « cette occupation de force » de l'une des chambres de la mosquée par une équipe de policiers.
Mais, au préalable, il avait été signifié aux forces de l'ordre de respecter « la discipline religieuse » et de ne guère fumer dans les lieux encore moins d'accepter la présence des filles. Et c'est à leur grande surprise que, le samedi 21 juin dernier, ces policiers ont été cités dans une affaire de viol. « Face à ces manquements, nous demandons (...) que les policiers libèrent la chambre qu'ils occupent », lancent les mourides de Rufisque qui ont fait face à la presse ce week-end.
Ce comité s'est également prononcé sur la question du foncier qui oppose les mourides aux riverains de la mosquée de Léona. Photos à l'appui, Cheikh Mbacké Guèye et ses camarades révèlent que les riverains continuent toujours les constructions dans l'enceinte de la mosquée, alors que celles-ci avaient été interdites par les autorités depuis les événements de juin 2005 qui s'étaient soldés par l'arrestation de seize « baye-fall ».
Très remontés contre ces « nouvelles constructions », les mourides ont brandi des éléments de preuve faisant du terrain de 9370 mètres carrés leur propriété légitime. Signé par Abdou Diouf et Habib Thiam, respectivement ancien président de la République et ancien Premier ministre, le décret 97-656, en date du 23 juin 1997, précise que ce terrain est immatriculé au nom de l'Etat « en vue de son attribution à la collectivité des mourides de Rufisque ».
Mais, faisant fi de cette mesure, les mourides accusent ceux qu'ils appellent les « occupants irréguliers » de continuer à empiéter sur la superficie du terrain. « Bien avant même que le décret ne sorte, une commission administrative avait, depuis 1978, accordé des permis d'occuper aux riverains. Et le site se situe à Arafat 2 », informe un membre du comité de suivi.
Plus grave, indiquent les mourides, certains des riverains auraient déjà construit leur maison sans y habiter. D'autres auraient tout simplement vendu ce terrain qui leur avait été cédé.
En conséquence, « nous demandons actuellement le règlement définitif du conflit foncier qui n'a que trop duré », indique Cheikh Mbacké Guèye. | |
| | | nymphéa Gold
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| Sujet: Re: Actualites afircaines insolites ou cocasses..........SUITE Mar 15 Juil - 17:20 | |
| Un nouveau-né étranglé dimanche 29 juin 2008
Madagascar ... Source : L'Express de Madagascar
Dimanche vers 15 h 20, le corps sans vie d'un nouveau-né a été trouvé par des passants au bord d'une rue de la commune rurale d'Imerinafovoany, district d'Ambohidratrimo. Le bébé avait encore son cordon ombilical et était enveloppé dans le placenta.
Saisis par le chef du fokontany, des gendarmes et le médecin du CSBII de la localité sont descendus sur place. Le constat révèle que le bébé a été étranglé avant d'être jeté.
Cette atrocité indigne les autorités locales. Elles souhaitent la collaboration des habitants pour traquer l'auteur de cet infanticide. La gendarmerie d'Imerinafovoany se charge de l'enquête. | |
| | | nymphéa Gold
Sexe : Nombre de messages : 5130 Age : 115 Localisation : 7 eme ciel Date d'inscription : 20/05/2008
| Sujet: Re: Actualites afircaines insolites ou cocasses..........SUITE Mar 15 Juil - 17:21 | |
| Une élève se pend dans les champs du Gmi dimanche 27 avril 2008
Cameroun ... Source : Bonaberi.com
Abiba Larissa aurait été humiliée par ses camarades dans cette petite ville du Cameroun.
Le maïs, les arachides et autres produits vivriers qui fleurissaient dans ces champs ont été sauvagement dévastés par une foule curieuse accourue vivre une scène horrible. Abiba Larissa, 12 ans, élève en classe de 5eme B au Collège adventiste de Bertoua, fille d’un inspecteur de police, s’est donnée la mort par pendaison. La scène macabre a été découverte vendredi 18 avril en premier lieu par Mme Béatrice Zoua, enseignante à l’école publique du quartier Tigaza, située à quelques mètres seulement de la scène. " Un enfant est venu m’informer dans ma salle de classe qu’une fille est suspendue sur un arbre dans les champs derrière le Gmi. Je suis sortie de la classe aussitôt, mais arrivée sur la scène, j’ai constaté que l’enfant était déjà morte. Je suis donc partie informer les responsables du Gmi ", a-t-elle déclaré. Mis au courant de cette information, le commandant du Gmi de Bertoua, Bill Mbilla s’est aussi rendu sur place et découvert le corps. " J’ai vu qu’elle était déjà morte et suspendue sur cette arbre que vous même vous voyez là. Elle avait aussi une lettre entre les mains destinée à son père que j’ai transmise à ma hiérarchie ", affirme Bill Mbilla.
Même si le commandant de la brigade anti-gang du Gmi ne veut pas dévoilé le contenu de la lettre, les informations glanées ici et là font état d’une demande de pardon à son père pour tous ses péchés commis sur terre pendant ses douze ans de vie. Peu après la police, le médecin du Gmi ainsi que celui de l’hôpital provincial et le procureur de la République sont tous descendus sur le terrain pour constat.
Pour le moment les mobiles exacts de cet acte macabre ne sont pas encore connus de façon exacte mais les commentaires des jeunes qui ont suivi les dernières heures avant l’acte disent que Abiba Larissa s’est donnée la mort parce qu’elle n’a pas pu supporter l’humiliation de ses camarades qui l’accusait d’avoir volé une boisson lactée dans une boulangerie de la place. En effet à la sortie des cours vendredi soir cette dernière se serait rendue dans la boulangerie dite Midorée de la ville de Bertoua.
En marchant dans les allées du magasin, Abiba aurait discrètement ramassé et caché la boisson dans son sac sans savoir que le portier a constaté son acte. Pendant la fouille à la sortie, les agents de sécurité du magasin trouvent la boite de et conduisent la malheureuse victime à la guérite du Collège adventiste. C’est ainsi que la jeune fille a été huée par ses camarades. " Elle avait peut-être peur de la réaction probable de son père s’il est courant de cet acte ", affirme une connaissance de la famille. Au départ une rumeur selon laquelle Abiba s’est donnée la mort parce qu’elle a été exclue du Collège adventiste s’est avérée finalement fausse. Réagissant à cette version sur les antennes d’une radio locale, le principal de cet établissement Wondjé Paul a indiqué que les surveillants avaient donné une convocation à Abiba Larissa pour remettre à ses parents pour le conseil de discipline de lundi 21 avril. | |
| | | nymphéa Gold
Sexe : Nombre de messages : 5130 Age : 115 Localisation : 7 eme ciel Date d'inscription : 20/05/2008
| Sujet: Re: Actualites afircaines insolites ou cocasses..........SUITE Mar 15 Juil - 17:22 | |
| Femme et extravagance: Les illusionnistes dimanche 27 avril 2008
Mali ... Source : Le Mali.fr
Pour paraître « uniques », certaines de nos sœurs n’hésitent pas à s’endetter le jour du mariage d’un proche.
La tendance semble malheureusement irréversible. Les cérémonies sociales sont devenues aujourd'hui des occasions d'étaler ostensiblement les symboles de fortune ou de réussite. C'est un engrenage infernal qui fait perdre la tête aux esprits. Même les plus rationnels en apparence y succombent. De plus en plus souvent des gens étiquetés comme raisonnables s'abandonnent aux attitudes les plus insensées. Mais comment résister quand tout dérape, et en premier lieu, la nature même des cérémonies ? En effet, les mariages et les baptêmes donnent lieu à des grandes fêtes et à des réjouissances démesurées. Les boîtes de nuit, les restaurants et autres lieux ne désemplissent pas les jours de mariage. Les familles des mariés ne lésinent pas sur les moyens pour marquer ce jour inoubliable de la vie de leurs enfants. Des caméras et des appareils photos sont sollicités pour fixer ces images de bonheur pour la postérité. Aussi les griots et autres maîtres de la parole tirent un substantiel profit de ce dédale festif. Ils se répandent en éloges dithyrambiques sur le nouveau couple et les membres de leurs familles respectives.
Les femmes balancent des billets de banque, les bijoux et autres objets de valeurs sont distribués comme du petit pain aux flatteurs. Le nec plus ultra réside dans la parade des belles voitures. Le nombre de berlines grosses cylindrées déterminent le niveau social des nouveaux mariés et le bonheur infini auquel ils viennent d'accéder. Hélas! Une minorité de couples entreront au pays des merveilles durant leur vie conjugale.
LES REINES DE LA CEREMONIE. Les femmes, soutiennent certains hommes, sont à la base de l’instauration de cette situation de gabegie où les illusions du bonheur coûtent de l'or. Nous ne nieront pas totalement cette accusation, vu l’ampleur du phénomène dans la ville de Bamako. Même la difficile conjoncture économique du pays ne décourage pas ces rêveuses. Chaque jour apporte sa dose de nouveautés dans la gamme des excentricités.
Aujourd’hui, les élégantes s’endettent pour paraître "unique" le jour du mariage d’un parent. Elles sont nombreuses, nos mamans, sœurs, qui à l’approche du mariage ou du baptême empruntent les habits de fête et les bijoux. À Bamako, aujourd'hui tout se loue à l'heure. Les costumes, les robes, les grands boubous brodés, les chaussures, toutes sortes de parures, les sacs à main sont proposés par des officines spécialisées. Même les lingeries fines ne sont pas épargnées. Les bonnes adresses sont communiquées de bouche à l'oreille
La jeune étudiante Fatim en sait long sur les pratiques des abonnées au bonheur fugace. Dimanche passé raconte t-elle, “ ma meilleure amie se mariait. J’étais son témoin de mariage, donc je me devrais d’être "céleste". Comme je n’avais pas la tenue convenable dans ma garde-robe, je suis allée emprunté un "tissu royal" d’une valeur de plus 300.000 Fcfa chez une tante commerçante”, explique la jeune fille. Ce acte n'a rien de repoussant dans son esprit. La prétentieuse estime que "nul ne peut tout avoir. "Je prends sans état d'âme des habits et des bijoux" ajoute Fatim.
Actuellement, un autre phénomène émerge. Les belles d'un jour louent des habits, des chaussures et des sacs à main chez les couturiers pour le temps que durent les cérémonies. Le marché des prêts, selon le maître tailleur Oumar N'Dieng, existe depuis plus de cinq ans. " Les frais de location d'un complet de bazin super riche brodé, d'un sac et des chaussures assorties se situent entre 25.000 et 50.000Fcfa. Mais la cliente doit déposer en plus sa carte d'identité pour garantir le retour des bijoux de valeur, ou des papiers de la voiture” témoigne le tailleur. Cependant, en cas de dommage causé sur l'habit ou la chaussure, la cliente supporte les frais de réparation. "Seuls les vraies puissances financières, les "Gros bonnets" viennent nous voir", insiste le professionnel.
Les bijoux en or ou en argent sont loués en fonction de la valeur du bijou. Mais tous les bijoutiers n'acceptent pas de donner leurs bijoux en emprunt. Quelque uns jouent le jeu. Ils prêtent leurs bijoux à leurs fidèles clientes. Selon un bijoutier qui a préféré garder l'anonymat le marché des prêts d'accessoires cérémoniaux clinquants est en plein épanouissement. "Parfois certaines femmes apportent des titres fonciers pour être couvertes d'or pendant quelques heures" ajoute le bijoutier.
LE MARCHE FLORISSANT DES VOITURES DE LOCATION. “ Les belles voitures riment avec les belles femmes ”, cet adage semble bien adapté à la société bamakoise. Aujourd’hui, il est difficile de voir une belle voiture sans découvrir une femme à l'intérieur. Les dimanches (jours de Mariage), les alentours des mairies sont débordés de carrosses conduites par des jolies nanas. Pourtant, la plupart de ces voitures de luxes sont louées par les agences de location de voitures. « Les femmes constituent notre clientèle principale. Elles préfèrent les voitures de luxes comme les RV4, les Mercedès derniers cris, les BMW et autres voitures de classe." confirme le propriétaire d'une agence.
A l'occasion des mariages, les voitures les plus sollicitées sont les Bentley GT, BMW 750, FERRARI Modena, Land-Rover, Touareg et la demande est grandissante pour le HUMMER H2 », explique le chef d’agence. Les frais de location varient selon les marques. Pour se payer du bon temps pendant la seule journée de Dimanche, certaines femmes versent entre 75.000, 100.000 jusqu’à 300.000 Fcfa. « Parfois, des jeunes filles cotisent pour se payer une journée de rêve dans ces voitures. Elles prennent des photos auprès de "leur voiture" pour immortaliser les quelques instants de bonheur fictif» conclu le chef d’agence.
La rieuse Astou Touré témoigne avoir loué une voiture en compagnie d’autres copines pour rehausser le mariage de son frère. « Nous avons cotisé 150.000 Fcfa chacune pour disposer d'une « Touareg ». J’ai pris beaucoup de photos. Tout le monde me regardait et les autres filles nous enviaient. J'étais aux anges. Un jour inoubliable! », assure la jeune dame.
Face à cette situation, les anciens reste perplexe. Le vieux Ousmane Diallo ne comprend rien à ces extravagances. Autrefois, les cérémonies sociales réunissaient un cercle relativement restreint de parents, de voisins et d'amis pour honorer les mariés (ou le nouveau-né). Le but était de resserrer les liens affectifs noués de longue date avec les organisateurs de l'événement. Aujourd’hui dès l’annonce d’une cérémonie ou même d’un décès, des personnes inconnues envahissent les lieux. Elles sont attirées par la notoriété ou la richesse de la famille en cause.
Il existe dans notre capitale un véritable univers de toutes les démesures. L'incendie de la munificence et de la folie des grandeurs est attisé par les louanges des griottes. Ces maîtresses de la parole dopent la rivalité entre les donatrices. L'instant est magique. Mais le lendemain sera morose. | |
| | | nymphéa Gold
Sexe : Nombre de messages : 5130 Age : 115 Localisation : 7 eme ciel Date d'inscription : 20/05/2008
| Sujet: Re: Actualites afircaines insolites ou cocasses..........SUITE Mar 15 Juil - 17:22 | |
| Mère et fille s’étripent pour un homme dimanche 6 juillet 2008
Camroun ... Source : Bonaberi.com
Une bagarre a éclaté à Nkolndongo parce que Arlette continuait de voir l’amant de sa mère en cachette.
Et à qui veut l’entendre, elle relate la bagarre qui les a opposées. Selon ses dires, elle a débarqué chez sa fille dans la nuit de jeudi à vendredi dernier. L’objectif était d’obtenir de sa progéniture de 26 ans qu’elle cesse de fréquenter Georges, chauffeur de taxi âgé d’une trentaine d’années. Et pour cause, le jeune homme est l’amant de Marlyse depuis un an et demi. La dispute tourne court. « Elle m’a insulté en disant que je suis vieille et que je ne valais rien. Ma propre fille que j’ai élevée. J’ai sauté sur elle et nous nous sommes bien battues. Pour moi, elle est morte », avertit la vendeuse de 47 ans. Il faut dire qu’Arlette n’a aucune intention d’abandonner Georges, et sa mère non plus. « Marlyse a chassé sa fille de la maison il y a quelques mois quand elle a découvert que celle-ci couchait avec son ami. Mais elle a appris que les deux continuaient à se voir. Ce qu’elle n’a pas supporté car elle aime trop son Georges malgré le fait qu’on lui ait dit que ce n’est qu’un gigolo », ajoute un proche de la famille. Malgré les malédictions de cette mère célibataire de trois enfants, rien n’a pu convaincre les deux amants de cesser de se voir. « Le pire dans tout ça est que Georges est chez elle, couché, attendant que l’orage passe pour recommencer à manger le fruit du labeur de Marlyse et sortir avec sa fille en même temps », confie quelqu’un. Si Marlyse n’a aucune intention de pardonner à sa fille, elle n’en reste pas moins convaincue que Georges n’est qu’un « homme qui n’a pas résisté devant une jeune fille qui ne voulait que le séduire ». Une prise de position qui indigne son entourage. On le savait déjà, l’amour est aveugle. Mais à ce point… | |
| | | nymphéa Gold
Sexe : Nombre de messages : 5130 Age : 115 Localisation : 7 eme ciel Date d'inscription : 20/05/2008
| Sujet: Re: Actualites afircaines insolites ou cocasses..........SUITE Mar 15 Juil - 17:23 | |
| Voleur, imprudent et rancunier samedi 5 juillet 2008
Mali ... Source : L'Essor
Nioro du Sahel - Guinéen a certainement le vol dans la peau pour se faire prendre malgré deux alertes. Leurs actes, selon qu'ils soient posés dans les grandes villes ou dans le pays profond, n'ont sans doute pas la même gravité, mais la psychose qu'ils font naître au sein des paisibles populations est la même. Les bandits de grand chemin - puisque c'est d'eux qu'il s'agit - installent une nuisance incroyable partout où ils opèrent. C'est ce qu'ont pu constater les habitants du cercle de Nioro. Face à une brutale explosion du banditisme dans la circonscription, les citoyens ne savaient plus à quel saint se vouer et ils ont pressé les forces de sécurité pour que celles-ci prennent des mesures exceptionnelles afin de ramener la quiétude.
Il est vrai que depuis début avril dernier, la situation avait largement dépassé le seuil du supportable. Le poste de sécurité de Trougoumbé enregistrait pratiquement sans discontinuer des cas de vol. Tout était bon à emporter pour les bandits : panneaux solaires enlevés, téléphones portables soustraits, produits alimentaires emportés, boutiques éventrées, habits volés. Les auteurs de tous ces actes préféraient opérer à une heure avancée de la nuit, au moment où les populations étaient plongées dans le plus profond sommeil. Cependant à force de mener une traque inlassable, la brigade de gendarmerie de Nioro a fini par s'assurer de deux dangereux malfaiteurs opérant dans la zone de Trougoumbé. L'un des suspects, Lassina Camara dit Guinéen avait été interpellé auparavant par le commandant de brigade de Nioro, en début juin, suite à la plainte d'un propriétaire de téléphone. Ce dernier avait vu entre les main du voleur son appareil qui avait disparu peu auparavant. Interrogé sur la provenance du téléphone, Guinéen affirma avoir ramassé le portable. Il reconnut toutefois s'être débarrassé de la puce qui lui "servait plus à rien". Il était impossible aux enquêteurs de démontrer le caractère mensonger des allégations de Lassana, mais ils mirent désormais ce dernier dans leur ligne de mire. Ils se doutaient bien qu'à un moment ou l'autre Guinéen récidiverait. Une autre chose allait les aider : le voleur aimait s'approprier pour son usage personnel d'une partie de ses butins. Le 10 juin dernier, un vol fut commis dans une boutique appartenant à des Talibés (élèves coraniques) où un pantalon, une paire de chaussures, un téléphone portable et un sac de sucre ont été enlevés. Les enquêtes ne durèrent pas très longtemps. Puisque Lassina Camara fut aperçu portant le pantalon volé. Interpellé de nouveau par les agents du poste de sécurité de Trougoumbé, le suspect nia d'être pour quoi que ce soit dans le vol de la boutique. Malgré ces dénégations, la brigade de gendarmerie sous la houlette du major Yaya Diallo commandant la brigade territoriale de Nioro procéda à une descente au domicile de Guinéen. La perquisition s'avéra des plus fructueuses puisque les gendarmes découvrirent dans la maison un lot d'objets volés d'une valeur avoisinant les 500 000 F CFA. Un avis diffusé par la gendarmerie permit aux propriétaires des objets dérobés (certains depuis plus de 6 mois) de venir récupérer leur bien. Mais ces faits n'étaient pas encore suffisamment accablants et le coup qui allait faire tomber définitivement Guinéen était à venir. Lassana avait l'habitude de monter ses coups avec un son ami de circonstance Mahamadou Diarra, alias Takala ("rapide comme une allumette"). Ce dernier avait été surnommé ainsi, parce que disaient ses amis il savait se montrer très "dynamique". Ce qui voulait dire qu'il ne laissait jamais passer une occasion de faire un joli coup. Les deux complices avaient un modus operandi éprouvé. Ils attendaient que les boutiquiers sombrent dans un profond sommeil, puis armés de scie, de marteau, de tenailles et de clés de toutes sortes, ils forçaient les portes des boutiques et se servaient autant qu'ils pouvaient en emporter. Lassine Camara avait été amené à Trougoumbé par son employeur Salif Traoré, infirmier d'état qui avait été nommé chef du poste médical de Trougoumbé. Mais les deux hommes se séparèrent assez vite. Guinéen, par son comportement désinvolte et ses fréquentes absences agaçait son employeur qui non seulement le renvoya de chez lui, mais demanda également aux autorités communales de Trougoumbé de chasser de la localité son ex employé. Cette requête avait été rejetée par le maire Hamet Diakité pour qui Camara était "un Malien comme les autres" et il avait droit de vivre dans la localité comme n'importe qui. Du moins tant qu'il ne commettrait pas "une bêtise insupportable par les populations".
Guinéen avait appris les efforts déployés par Salif Traoré pour le faire bannir de Trougoumbé. Aussi nourrissait-il une haine féroce contre son ancien logeur et attendait le moment approprié pour faire payer à ce dernier son acharnement contre lui. Une nuit, Lassana et son complice mirent à profit le voyage de l'infirmier et le fait que sa femme avait le sommeil très lourd pour s'introduire par effraction chez Salif Traoré. Guinéen n'eut aucune difficulté à s'emparer des biens les plus précieux de son ancien logeur. Il connaissait en effet l'exact emplacement de toutes les affaires qui pouvaient l'intéresser dans la famille. Avec son complice, il enleva donc deux lecteurs DVD, deux radiocassettes, des habits. Les deux hommes remplirent aussi un gros sac d'objets de toutes sortes. Les deux malfaiteurs portaient des cagoules et des tenues noires pour se fondre dans l'obscurité. Ils avaient opéré Chez Salif Traoré sans trop de précautions, car ils étaient rodés dans ce genre de coups qu'ils avaient déjà exécuté à plusieurs reprises. C'est en quittant les lieux de leurs exploits vers 3 heures du matin qu'ils croisèrent sur leur chemin la patrouille du major Yaya Diallo. Cet épisode marqua la fin de l'histoire pour les deux complices qui furent traduits devant le tribunal de Nioro. Pour l'instant, les populations de Trougoumbé dorment en paix. Mieux en tous les cas que Guinéen et son ami Takala qui méditent leur sort à la grande prison de Nioro en attendant leur jugement. | |
| | | nymphéa Gold
Sexe : Nombre de messages : 5130 Age : 115 Localisation : 7 eme ciel Date d'inscription : 20/05/2008
| Sujet: Re: Actualites afircaines insolites ou cocasses..........SUITE Mar 15 Juil - 17:23 | |
| ll tue l’amant de sa femme et lui mutile son sexe mercredi 14 mai 2008
Maroc ... Source : Aujourd'hui le Maroc Trompé par sa femme quand il purgeait une peine d’emprisonnement, il a tué l’un de ses deux amants et lui a mutilé le sexe. Il avait l’intention de liquider sa femme et son deuxième amant.
Ahmed est un homme cruel qui a une mauvaise réputation tant chez lui que dans son quartier. Il n’hésitait pas à violenter horriblement sa femme comme si elle était son ennemi. Et pourtant, ils n’ont jamais pensé divorcer. Ils ont continué à vivre ensemble sous le même toit. Malheureusement, la cruauté d’Ahmed ne pouvait laisser sa femme indifférente. Au contraire, elle avait décidé de porter plainte contre lui. Arrêté, il a été jugé coupable pour maltraitance envers sa femme et a été condamné à une peine d’emprisonnement de six mois ferme. Incarcéré à la prison d’Oukacha, il ne recevait la visite que d’un ami intime. Sa femme n’a jamais pensé lui rendre visite, lui porter de quoi manger, ni lui acheter quoi que ce soit à la prison. C’est comme si elle le punissait Au fil du temps, Ahmed a été informé que sa femme avait entretenu une relation d’adultère avec l’un de ses amis, puis avec un second. Pourquoi le trompait-elle ? Pour se venger de lui et de sa dignité ?
La nuit, Ahmed ne fermait plus les yeux. Les mauvaises idées lui hantaient l’esprit jour et nuit. « Que dois-je faire ? », se demandait-il à chaque moment sans trouver la moindre réponse. Son ami qui lui rendait visite tentait de le calmer. Il lui a conseillé de répudier sa femme une fois qu’ il serait relâché. Mais l’idée qui lui passait par la tête l’encourageait à commettre une homicide volontaire. Il pensait tuer sa femme, son premier amant et le second. Aussitôt relâché, il a ciblé le second amant de sa femme. Il le guettait jour et nuit pour saisir l’occasion idoine afin de le tuer.
Nous sommes le mercredi 30 avril. Ahmed a remarqué le second amant de sa femme qui rôdait tout au long de la plage d’Aïn Diab. Il a suivi ses pas. Quand il s’est tenu dans un coin pour s’enivrer, Ahmed a attendu la tombée de la nuit. Après quoi, il s’est approché de lui. Et sans lui permettre de résister, il l’a égorgé comme un mouton. Il a saisi ensuite une lourde pierre avec quoi il lui a fracassé le crâne. A la fin, il est parti. À mi-chemin, il est retourné au lieu du crime. Le cadavre y est toujours. Se rassurant que personne ne le remarquait, il a déboutonné le pantalon de la victime et lui a enlevé le maillot. Avec le couteau, il lui a mutilé son appareil génital. Vingt-quatre heures plus tard, le cadavre a été découvert. La police judiciaire de Casablanca-Anfa a été alertée par un coup de téléphone, s’est dépêchée sur les lieux et a diligenté une enquête minutieuse. Quelques jours plus tard, Ahmed a été arrêté à Médiouna. Il a avoué son crime. Il a affirmé aux enquêteurs avoir liquidé sa première victime par vengeance et avoir l’intention de tuer le premier amant de sa femme et de couper son pénis avant d’assassiner son épouse. Malheureusement, a-t-il précisé aux enquêteurs et sans exprimer le moindre regret, il n’avait pas eu le temps pour exécuter son plan. | |
| | | nymphéa Gold
Sexe : Nombre de messages : 5130 Age : 115 Localisation : 7 eme ciel Date d'inscription : 20/05/2008
| Sujet: Re: Actualites afircaines insolites ou cocasses..........SUITE Mar 15 Juil - 17:24 | |
| Le présumé violeur en série pris en flagrant délit lundi 7 avril 2008
Sénégal ... Source : Le Soleil
La peur des mères de famille de Bene-Tally va certainement se dissiper. Un jeune homme de 17 ans a été appréhendé hier par les populations et livré à la Police alors qu’il tentait d’abuser d’une fille mineure de 16 ans. Tout laisse croire qu’il est le violeur qui sautait sur les filles mineures. Un jeune de 17 ans, du nom de Massianou Mendy, a été arrêté hier, au quartier Bène Tally, au moment où il essayait de violer D. S., une fille de 16 ans. Identifié formellement par de précédentes victimes de viol dans le quartier, tout porte à croire que M. Mendy est le présumé violeur en série qui semait la terreur ces derniers temps dans le coin. D’autant plus qu’il a reconnu des forfaits antérieurs à la police. Hier, il a voulu récidiver. Mais il ne savait peut-être pas que le quartier était assez informé sur les agissements d’un bonhomme prompt à prendre dans son piège les mineures.
Massianou Mendy a été appréhendé hier par les populations au moment où il tentait de violer une fillette. Et cela, malgré le fait qu’il a changé de lieu de crime puisque l’immeuble ayant enregistré plusieurs cas de viol dans le passé était certainement très surveillé. Pour apparemment tromper la vigilance des riverains, il s’est rabattu sur un autre immeuble du quartier de Béne Tally. A la place de la charité ou des 50 francs Cfa qu’il proposait à ses victimes pour mieux les appâter, il a promis cette fois du lait à D. S., hier. « Il a appelé la fille pour promettre du lait caillé. Celle-ci l’a suivi. Au moment où il se déshabillait pour forcer la mineure à avoir des rapports intimes avec lui, cette dernière a crié au secours. C’est ainsi que les gens sont intervenus », témoigne un habitant. Notre interlocuteur ajoute : « le jeune homme a voulu s’enfuir, mais sentant que les populations allaient le lyncher, il s’est réfugié dans une maison où il a été cueilli par la police ». Dans les locaux du poste de police des Hlm, le présumé violeur n’a pas mis du temps pour reconnaître ses forfaits devant les policiers. Mais les limiers ne se sont pas arrêtés en si bon chemin. Ils ont fait appel aux plaignants. La première à se présenter est A. S., la fillette qui a été violée le 17 mars dernier. Un médecin avait d’ailleurs constaté son viol et avait délivré à ses parents une incapacité temporaire de travail (Itt) de 21 jours. A. S. n’a pas eu de peine à reconnaître le jeune homme indélicat. « Il avait porté des sandales blanches. Il bégaie. Il est de teint noir », a-t-elle dit avant de voir le présumé violeur. Une description qui colle bien au jeune homme. Vêtu d’un tee-shirt rouge, Massianou Mendy articule difficilement les mots. Malgré la poussière, ses sandales gardent toujours leur blancheur.
Une autre confrontation est organisée avec une autre victime. Celle-ci a également reconnu le garçon. Le stratagème utilisé par le jeune pour faire son forfait est le même. Il demandait à ses victimes de venir prendre la charité chez sa mère. Une fois dans l’immeuble qui, habituellement est vidé de ses occupants la matinée, il brandit une arme blanche pour tenir sa proie en respect avant de passer au viol. Mais sa stratégie a failli créer l’irréparable, puisque face à la persistance de ses actes, des habitants de l’immeuble étaient de plus en plus vus d’un mauvais œil dans le quartier.
Au moment où la police s’attèle à l’interrogatoire, la nouvelle de l’arrestation de la terreur des mineures a vite circulé dans Bene-Tally. En atteste le déplacement d’une dizaine de femmes du quartier devant les locaux de la police. « Nous voulons le voir. Il a installé la panique dans notre quartier. Nous ne dormions plus tranquillement », lance une dame.
Le ouf de soulagement est général chez les habitants, même si certains souhaitaient se faire justice eux-mêmes. « Ils ne devaient pas le livrer tôt à la police. On devait au moins avoir la possibilité de le faire passer un sale quart heure », martèle une autre dame. Mais un brin de sentiments meilleurs habite d’autres. « On doit maintenant laisser la police faire son travail. La prison, c’est déjà une grosse sanction », affirme une jeune fille.
Même si le présumé violeur en série est arrêté, ses actes devraient servir d’exemple pour les parents. « Les femmes doivent mettre plus l’accent sur le contrôle des enfants. On ne doit pas laisser une fillette errer dans les rues. Si ta fillette s’absente pendant une dizaine de minutes, tu dois te lever pour t’enquérir de sa situation », conseille Mme Ngoné Ndiaye, une habitante de Bene-Tally. Le contrôle est aussi valable pour les garçons, de l’avis de Mme Ndiaye qui estime que les parents doivent les prémunir contre les agissements des pédophiles. « Pendant les jours fériés, on peut tout faire pour interdire aux enfants de sortir. Il faut les sommer d’apprendre leurs leçons », souligne-t-elle. | |
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